Re: On se détend (10)

Jeu 22 Mar 2018 - 20:14

OCTANT a écrit:

Elle est très bien Laughing

!

Jeu 22 Mar 2018 - 21:52

Jeu 22 Mar 2018 - 22:01

Un homme arrive au bureau décoiffé, avec un oeil au beurre noir, les vêtements froissés et déchirés, une lèvre éclaté, le visage noirci...
Son collègue lui demande :"Mince alors ! Qu'est-ce qui t'arrive???"
"Oh, répond l'autre... Je viens juste d'enterrer ma belle-mère..." en s'écroulant dans son fauteuil...
"Dur!" lui répond son collègue.
"Oh m'en parle pas! C'est qu'elle s'est pas laissée faire la morue!"

Jeu 22 Mar 2018 - 22:03

Luminoso a écrit:

!

Jeu 22 Mar 2018 - 23:14

Altazaar a écrit:Un homme arrive au bureau décoiffé, avec un oeil au beurre noir, les vêtements froissés et déchirés, une lèvre éclaté, le visage noirci...
Son collègue lui demande :"Mince alors ! Qu'est-ce qui t'arrive???"
"Oh, répond l'autre... Je viens juste d'enterrer ma belle-mère..." en s'écroulant dans son fauteuil...
"Dur!" lui répond son collègue.
"Oh m'en parle pas! C'est qu'elle s'est pas laissée faire la morue!"

Ven 23 Mar 2018 - 8:07

Flomad a écrit:

Altazaar a écrit:Un homme arrive au bureau décoiffé, avec un oeil au beurre noir, les vêtements froissés et déchirés, une lèvre éclaté, le visage noirci...
Son collègue lui demande :"Mince alors ! Qu'est-ce qui t'arrive???"
"Oh, répond l'autre... Je viens juste d'enterrer ma belle-mère..." en s'écroulant dans son fauteuil...
"Dur!" lui répond son collègue.
"Oh m'en parle pas! C'est qu'elle s'est pas laissée faire la morue!"

Ven 23 Mar 2018 - 11:29

Si celle qui s'acharne sur ma poupée vaudou pouvait également lui faire une petite pipe, ça serait sympa. Merci.

Ven 23 Mar 2018 - 13:15

Ven 23 Mar 2018 - 16:56

OCTANT a écrit:Si celle qui s'acharne sur ma poupée vaudou pouvait également lui faire une petite pipe, ça serait sympa. Merci.

Ven 23 Mar 2018 - 17:43

Ven 23 Mar 2018 - 21:32

Histoire vraie entendue à l'hôpital... Un Monsieur est hospitalisé pour des raisons diverses. Il ne veut pas qu'on l'appelle Monsieur, mais Madame, et d'ailleurs il est habillé en robe... Pourtant il porte une barbe de pope! Intrigué le médecin lui demande : "Vous souhaitez que l'on vous appelle madame car vous pensez être une femme... Mais alors, pourquoi vous laissez-vous pousser la barbe?". Et le patient qui lui répond : "Et bien c'est évident!!! C'est parce que se raser n'est pas un geste féminin"! Shocked

Bon... ce petit dialogue absurde (mais pas tant que ça - c'est pour ça que c'est drôle : c'est qu'on ne sait pas si c'est absurde ou non) me renvoie à un questionnement métaphysique qui me turlupine depuis quelques jours... Et je vous en fais part, même si là on vire dans le débat philosophico-sociologique... et plus trop dans la détente... Mais cette histoire pose un fait : que tu laisses pousser ta barbe ou pas; que tu te rases ou pas... c'est un truc d'homme dans les deux cas. scratch

Or je suis frappé par la coïncidence temporelle existant entre le retour en force du port de la barbe (et autres reliefs pileux) dans toutes les générations d'hommes pubères de tous les styles vestimentaires, et la montée en force des discours de déconstruction de l'identité masculine (théorie de lutte contre les stéréotypes de genre, discours féministe revanchard qui au-delà de la revendication légitime de l'égalité des droits hommes/femmes, pose la femme comme victime éternelle de l'homme qu'il faut aujourd'hui punir avec intransigeance). Coïncidence? Ou revendication virile silencieuse dans une époque où revendiquer par la parole les spécificités de son identité d'homme est devenu très mal vu? La façon dont nous jouons avec nos poils est-elle la dernière chose que notre société nous laisse pour nous sentir des hommes? scratch

Je ramasse les copies dans quatre heures! et interdit de copier sur ses petits camarades ou je confisque vos rasoirs! fouet

Ven 23 Mar 2018 - 21:53

Perso, c'est nul.
Et avec les fautes c'est deux fois plus nul.

Désolé. Wink

Ven 23 Mar 2018 - 21:53

Altazaar a écrit:
Histoire vraie entendue à l'hôpital... Un Monsieur est hospitalisé pour des raisons diverses. Il ne veut pas qu'on l'appelle Monsieur, mais Madame, et d'ailleurs il est habillé en robe... Pourtant il porte une barbe de pope! Intrigué le médecin lui demande : "Vous souhaitez que l'on vous appelle madame car vous pensez être une femme... Mais alors, pourquoi vous laissez-vous pousser la barbe?". Et le patient qui lui répond : "Et bien c'est évident!!! C'est parce que se raser n'est pas un geste féminin"!

Bon... ce petit dialogue absurde (mais pas tant que ça - c'est pour ça que c'est drôle : c'est qu'on ne sait pas si c'est absurde ou non) me renvoie à un questionnement métaphysique qui me turlupine depuis quelques jours... Et je vous en fais part, même si là on vire dans le débat philosophico-sociologique... et plus trop dans la détente... Mais cette histoire pose un fait : que tu laisses pousser ta barbe ou pas; que tu te rases ou pas... c'est un truc d'homme dans les deux cas.

Or je suis frappé par la coïncidence temporelle existant entre le retour en force du port de la barbe (et autres reliefs pileux) dans toutes les générations d'hommes pubères de tous les styles vestimentaires, et la montée en force des discours de déconstruction de l'identité masculine (théorie de lutte contre les stéréotypes de genre, discours féministe revanchard qui au-delà de la revendication légitime de l'égalité des droits hommes/femmes, pose la femme comme victime éternelle de l'homme qu'il faut aujourd'hui punir avec intransigeance). Coïncidence? Ou revendication virile silencieuse dans une époque où revendiquer par la parole les spécificités de son identité d'homme est devenu très mal vu? La façon dont nous jouons avec nos poils est-elle la dernière chose que notre société nous laisse pour nous sentir des hommes?

Je ramasse les copies dans quatre heures! et interdit de copier sur ses petits camarades ou je confisque vos rasoirs!

C'est pas faux !

Ven 23 Mar 2018 - 22:52

pas très convaincant !!
si tu regardes la galerie des "grands zommes" du XIXème, c'est pein de barbus…
et quand Flaubert choque son auditoire en lâchant " Madame Bovary, c'est moi !!", il arbore une belle paire ……de bacchantes

Ven 23 Mar 2018 - 22:59

OCTANT a écrit:

Altazaar a écrit:
Histoire vraie entendue à l'hôpital... Un Monsieur est hospitalisé pour des raisons diverses. Il ne veut pas qu'on l'appelle Monsieur, mais Madame, et d'ailleurs il est habillé en robe... Pourtant il porte une barbe de pope! Intrigué le médecin lui demande : "Vous souhaitez que l'on vous appelle madame car vous pensez être une femme... Mais alors, pourquoi vous laissez-vous pousser la barbe?". Et le patient qui lui répond : "Et bien c'est évident!!! C'est parce que se raser n'est pas un geste féminin"!

Bon... ce petit dialogue absurde (mais pas tant que ça - c'est pour ça que c'est drôle : c'est qu'on ne sait pas si c'est absurde ou non) me renvoie à un questionnement métaphysique qui me turlupine depuis quelques jours... Et je vous en fais part, même si là on vire dans le débat philosophico-sociologique... et plus trop dans la détente... Mais cette histoire pose un fait : que tu laisses pousser ta barbe ou pas; que tu te rases ou pas... c'est un truc d'homme dans les deux cas.

Or je suis frappé par la coïncidence temporelle existant entre le retour en force du port de la barbe (et autres reliefs pileux) dans toutes les générations d'hommes pubères de tous les styles vestimentaires, et la montée en force des discours de déconstruction de l'identité masculine (théorie de lutte contre les stéréotypes de genre, discours féministe revanchard qui au-delà de la revendication légitime de l'égalité des droits hommes/femmes, pose la femme comme victime éternelle de l'homme qu'il faut aujourd'hui punir avec intransigeance). Coïncidence? Ou revendication virile silencieuse dans une époque où revendiquer par la parole les spécificités de son identité d'homme est devenu très mal vu? La façon dont nous jouons avec nos poils est-elle la dernière chose que notre société nous laisse pour nous sentir des hommes?

Je ramasse les copies dans quatre heures! et interdit de copier sur ses petits camarades ou je confisque vos rasoirs!

C'est pas faux !

C'est rasoir ou copies que t'as pas compris ? On se détend (10) - Page 14 2896935916

Ven 23 Mar 2018 - 23:05

Luminoso a écrit:Perso, c'est nul.
Et avec les fautes c'est deux fois plus nul.

Désolé.

Si c'est à moi que tu réponds,... Tu as parfaitement le droit de ne pas partager ce questionnement. En revanche ça aurait été sympa d'expliciter les raisons de ton désaccord autrement que par un "c'est nul". Quant aux fautes... Aurais-tu la gentillesse de me les indiquer pour que je puisse les corriger parce que j'ai beau me relire et me relire... je ne parviens pas à les retrouver. Merci.

Ven 23 Mar 2018 - 23:08

jde42 a écrit:

OCTANT a écrit:

Altazaar a écrit:
Histoire vraie entendue à l'hôpital... Un Monsieur est hospitalisé pour des raisons diverses. Il ne veut pas qu'on l'appelle Monsieur, mais Madame, et d'ailleurs il est habillé en robe... Pourtant il porte une barbe de pope! Intrigué le médecin lui demande : "Vous souhaitez que l'on vous appelle madame car vous pensez être une femme... Mais alors, pourquoi vous laissez-vous pousser la barbe?". Et le patient qui lui répond : "Et bien c'est évident!!! C'est parce que se raser n'est pas un geste féminin"!

Bon... ce petit dialogue absurde (mais pas tant que ça - c'est pour ça que c'est drôle : c'est qu'on ne sait pas si c'est absurde ou non) me renvoie à un questionnement métaphysique qui me turlupine depuis quelques jours... Et je vous en fais part, même si là on vire dans le débat philosophico-sociologique... et plus trop dans la détente... Mais cette histoire pose un fait : que tu laisses pousser ta barbe ou pas; que tu te rases ou pas... c'est un truc d'homme dans les deux cas.

Or je suis frappé par la coïncidence temporelle existant entre le retour en force du port de la barbe (et autres reliefs pileux) dans toutes les générations d'hommes pubères de tous les styles vestimentaires, et la montée en force des discours de déconstruction de l'identité masculine (théorie de lutte contre les stéréotypes de genre, discours féministe revanchard qui au-delà de la revendication légitime de l'égalité des droits hommes/femmes, pose la femme comme victime éternelle de l'homme qu'il faut aujourd'hui punir avec intransigeance). Coïncidence? Ou revendication virile silencieuse dans une époque où revendiquer par la parole les spécificités de son identité d'homme est devenu très mal vu? La façon dont nous jouons avec nos poils est-elle la dernière chose que notre société nous laisse pour nous sentir des hommes?

Je ramasse les copies dans quatre heures! et interdit de copier sur ses petits camarades ou je confisque vos rasoirs!

C'est pas faux !

C'est rasoir ou copies que t'as pas compris ?

On se détend (10) - Page 14 Tumblr_mrqgespln51r3hwsco1_250

Ven 23 Mar 2018 - 23:34

Robb921 a écrit:pas très convaincant !!
si tu regardes la galerie des "grands zommes" du XIXème, c'est pein de barbus…
et quand Flaubert choque son auditoire en lâchant " Madame Bovary, c'est moi !!", il arbore une belle paire ……de bacchantes

Oui, en effet, au XIXème la pilosité faciale avait encore le vent en poupe mais à l'échelle de l'histoire de l'humanité elle a été prisée à certaines époques... et beaucoup moins à d'autres.Et aux mêmes époques en fonction des lieux où on se trouvait et de sa civilisation cela pouvait être différent : le romain se rasait et gardait les cheveux courts tandis que le gaulois était fier de sa moustache et de ses tresses.

La façon dont on pouvait porter le poil pouvait même être un signe de clivage social entre monde bourgeois et monde ouvrier et avoir une coloration socio-politique au début du XXème siècle. A la moitié du XXème siècle la barbe amorçait son déclin relatif (attention on n'a jamais eu 100% d'hommes glabres et 100% d'hommes poilus) persistant surtout dans le monde ouvrier. Je me souviens aussi qu'une question du Trivial Poursuit nous rappelle que dans les années 80 des millions d'américains ont rasé leur moustache lorsqu'elle était devenue un signe de ralliement de la communauté gay... Etc...

Bref le questionnement que je soulève aujourd'hui n'a de sens qu'aujourd'hui où le poil se porte davantage qu'il ne se portait il y a encore quelques années... et notamment chez des personnes d'âges aussi divers et même très jeunes. Et je me pose sans doute ces questions parce qu'en France nous avons eu des débats "sociétaux" (le néologisme n'est pas de moi mais de ceux qui entretenaient les débats à l'époque) qui ont traversé notre pays assez rudement (autour du mariage pour tous et ce qui était mis en place dans les écoles sur la question des codes hommes/femmes) et qui le traversent encore sur la scène politique avec la façon dont se généralisent les accusations de harcèlement sexuel ou pire et de façon parfois un peu étrange ou des plaintes classées car peu fondées il y a 10 ans ressortent sur l'initiative de groupes féministes. Quand vous voyez une ministre parler de "féminicide" pour parler d'une affaire de crime passionnel (dans un crime passionnel c'est un conjoint qui tue l'autre... c'est terrible mais... le mari ne tue pas sa femme parce qu'elle est une femme. D'ailleurs il arrive que des femmes tuent aussi leur maris et on en fait pas un crime sexiste!). Je passe sur le fait qu'on parle de pénaliser les insultes sexistes à l'égard des femmes (mais pas à l'égard des hommes - on ne parle jamais de protéger les hommes d'un certain sexisme et pourtant... ) avec le risque que toute insulte à l'égard d'une femme pourrait être considérée comme sexiste... Que l'on parle aussi d'autoriser les femmes à exiger qu'on leur fournisse la fiche de paie de leurs homologues masculin (mais on ne parle pas du contraire)... Bref pour ceux qui suivent l'actualité en France il se passe pas mal de choses qui ressemblent plus à de la guerre des sexes qu'à de l'égalité.

C'est vrai que ce forum est francophone et qu'il n'y a pas que des français dessus... donc effectivement... comme mes questionnements découlent un peu de ce qui a agité notre pays ces dernières années, je comprends que cela puisse ne pas parler à tous de la même manière.

Ven 23 Mar 2018 - 23:39

Ven 23 Mar 2018 - 23:48

Bon, on ce daitan

Ven 23 Mar 2018 - 23:57

Y'a moyen de debattre du truc à mon avis. Mais pas dans la rubrique on se detend.
Crée un sujet à part dans la buvette.

On se détend (10) - Page 14 2896935916

pour la poupée vaudou d'Octant.
Question métaphysique pour Christophe, si c'est un mec qui s'occupe de ta poupée vaudou... ça te dérange? Rasé de près le mec, c'est important.

Sam 24 Mar 2018 - 2:31

Altazaar a écrit: je suis frappé par la coïncidence temporelle existant entre le retour en force du port de la barbe (et autres reliefs pileux) dans toutes les générations d'hommes pubères de tous les styles vestimentaires, et la montée en force des discours de déconstruction de l'identité masculine (théorie de lutte contre les stéréotypes de genre, discours féministe revanchard qui au-delà de la revendication légitime de l'égalité des droits hommes/femmes, pose la femme comme victime éternelle de l'homme qu'il faut aujourd'hui punir avec intransigeance). Coïncidence? Ou revendication virile silencieuse dans une époque où revendiquer par la parole les spécificités de son identité d'homme est devenu très mal vu? La façon dont nous jouons avec nos poils est-elle la dernière chose que notre société nous laisse pour nous sentir des hommes?

Une icône piquée aux gays ? Le hic, c'est que les hétérosexuels semblent ne pas avoir beaucoup d'imagination. Ce lumbersexuel (dont les hipsters font partis) apparaît en effet un recyclage d'une icône gay, le fameux "bear", ours en français. "C'est clair, il y a une esthétique 'bear'", reconnaît Marc Beaugé.

C'est dans les années 1970 que ce style a commencé à se développer aux États-Unis, en réaction au style efféminé dans lequel certains gays ne se reconnaissaient pas. Le Bear, poilu avec parfois de l'embonpoint, cultive tout comme le lumbersexuel une virilité exacerbée.
http://www.europe1.fr/societe/connaissez-vous-le-lumbersexuel-ce-hipster-des-bois-2305271

Chez Google, « la présence de caucasiens* et d’hommes est accueillie avec des huées lors des grandes réunions hebdomadaires d’entreprise »
*comprendre de type européen
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/01/09/google-attaque-pour-discrimination-envers-les-hommes-blancs-conservateurs_5239425_4408996.html

Toute ressemblance avec des faits existants est bien sûr fortuite On se détend (10) - Page 14 677956

Propagande et stigmatisation des Juifs

Les premières mesures légales contre les Juifs s’accompagnent d’une forte propagande et de coups d’éclat publics, visant à stigmatiser ces ennemis de la « communauté du peuple » (Volksgemeinschaft) et à gagner le soutien des Allemands.
http://www.enseigner-histoire-shoah.org/outils-et-ressources/documents-darchives/les-juifs-dans-le-reich-des-annees-1930-exclusion-et-violences.html

Donc pour résumer la société nous propose en model le style des gays des années 70 et commence à nous stigmatiser pour le simple fait d'exister en tant qu'homme affraid

Bref, après avoir monté les ouvriers contre les patrons, les jeunes contre les vieux, les français contre les immigrés et réciproquement, maintenant nous avons droit aux femmes contre les hommes et à un sujet de plus qui divise (pour mieux régner) Rolling Eyes

Remarque comme ça, pendant ce temps les ultras riches (faciles à reconnaitre ils détiennent les principaux médias) peuvent continuer de dormir sur leurs 2 oreilles yahoo

Sam 24 Mar 2018 - 7:10

Sam 24 Mar 2018 - 7:25

Sam 24 Mar 2018 - 12:28

Belle série On se détend (10) - Page 14 2896935916

Sam 24 Mar 2018 - 12:33

Sam 24 Mar 2018 - 13:37

Mèche rebelle...la grande classe On se détend (10) - Page 14 677956

Sam 24 Mar 2018 - 13:56

Sam 24 Mar 2018 - 18:23

Greg a écrit:Mèche rebelle...la grande classe

Sam 24 Mar 2018 - 18:39