Le topic Musique (4)

Ami de chanson qui traine dans le temps et qui laisse des ambiances particulières selon l'état, ce soir, 40 Watt Sun avec le titre Stages. Si vous reconnaissez la voix, il s'agit de Patrick Walker du groupe de doom metal "Warning". 
Je conseil l'album qui reste dans cette tranche. 



Bonne écoute  !

... c'est malin, hein... je viens de péter une chaise et de massacrer la moquette du salon avec mes éperons, à cause de toi...

Almostblue a écrit:... c'est malin, hein... je viens de péter une chaise et de massacrer la moquette du salon avec mes éperons, à cause de toi...

Impossible, les (vrais )cosaques montent sans éperons:  http://www.cosaques.com/Cavalerie.html

un reliquat de country, peut-être ?

Bonne nuit   

je suis curieux, j'ai écouté tout l'album jusqu'au bout .... mais au final, non, je n'achète pas. Même si l'orchestration est irréprochable et de haut niveau, Gad n'a pas le swing ni le talent d'un chanteur. L'original est de toute façon bien meilleur.

Prorasoir a écrit:

Regardé la vidéo 3 minutes avant de me rendre compte que le son était coupé
Une musique physiquement attractive    
merci pour le partage !




Me dois de relancer par une autre miss...


Betty Mabry/Davis

Bonne nuit 

lombok a écrit:

Qu'est-ce que j'ai pu l'écouter l'album bleu (le 1er).


Matt Sharp (l'ex-bassiste de Weezer)  faisait des trucs très bons aussi.



Les 2 filles dans le clip sont les filles de Charlie Haden.

Chez Naguy avec Blur ...:

... Toots...

AC/DC toujours là !!!
https://youtu.be/ga5qfM2-kog

Déjà posté dans un de mes SOTD mais cette musique fût une belle claque ! Le feeling dans les solos c'est vraiment pas mal. On retrouve des bonnes inspirations Pink Floyd tout de même, en plus moderne. Amateur de musique qui trainent... 
Bonne nuit  ! 

J'adore...

Bonne nuit 

... un p'tit Bowie ? Grand Cru 1973...

J'ai eu une vague d'imagination en écoutant la musique qui suit donc je partage. 


Jeudi 4 Février 1963, Brooklyn.

Il regardait les rues humides et sombres à travers ses lunettes rondes argentées. Un petit trilby noir qui allait de pair avec son long trois quart le protégeant de cette pluie d'hiver. D'un pas lent, contemplant son ombre sur le sol après chaque halo lumineux, il se dirige vers ses notes familières de saxophone. Tonalité mineur, mélancolie nocturne. Il contemple a travers la vitre de ce Jazz Club la femme qu'il aurait aimé épousé, jouant de son souffle pour hypnotiser son auditoire. Une cigarette, Philip Morris comme tous les jours, se consume doucement au rythme d'expirations devenu inconnues. Il ne croisera pas son regard, ne le cherchera pas vraiment pour être honnête, préférant les effluves urbaines au souvenir il repart d'un pas encore plus lent en s'allumant une deuxième cigarette. L'Avenue regardait les yeux humide de cet homme a travers ces lunettes rondes argentées.